26 novembre 2015
je m'imagine !
Le temps s’obscurcit, juste une lueur. À l'horizon, j’aperçois, ce beau soleil, Cette lueur, j'en rêve, mon destin, je l’ignore. Au pluriel, touts se consument, mon cœur et mon ciel, s’opposent. Je n'offense point, même, si ce déchirement, est la raison...